Essai Art Vidéo #4

  • Samedi 10 juin à 22h15
  • Mardi 13 juin à 19h45
  • Billetterie : ICI

Libre interprétation d’après "Le Mépris" de Jean-Luc Godard, le film est un exercice d’admiration qui questionne autant le genre que… Les genres, l’amour et le temps : faire durer un amour – fût-il amour du cinéma — au-delà des cassures du mépris ?

Sur les routes de Saintonge, à l’entrée des bourgs ou le long des rocades, on a disposé d’étranges constructions devant lesquelles on passe sans s’arrêter : des ronds-points, aménagés avec une obsession de la couleur locale.

Gilles, est atteint d’un glaucome, une maladie de l'œil provoquant une diminution graduelle et irrémédiable de la vue. Au cours des derniers mois, les dernières traces de netteté se sont estompées. Petit à petit, son glaucome se métamorphose en une performance énigmatique exécutée par un groupe.

Sur "l'île des enfants perdus" dans la baie d'Hiroshima, l'eau est rare. Une étudiante marche à travers la forêt où s'élancent les grands arbres survivants de l'explosion atomique. Elle cherche la source oubliée qui la mènera à l'intérieur des couloirs souterrains de l'ancienne banque d'Hiroshima.

Une dystopie sous-marine qui vous plonge dans l'inquiétante réalité de la pollution plastique de nos océans. À travers une série d'images générée par IA et composée à la main, ce film d'animation vous confronte aux conséquences dévastatrices de nos habitudes sur la vie marine.

Dans la nuit, une femme retrouve les texte d'un homme qui a disparut. Que peuvent-ils raconter ?