Essai Art Vidéo #3

  • Lundi 12 juin à 19h45
  • Mercredi 14 juin à 22h00
  • Billetterie : ICI

Massacre, masse, sacre, mascarade. Le film maintient une ambiguïté sur l’identité des individus filmés et le sens des gestes qu’ils effectuent. Gestes dissonants, profanes, sortis des limbes, des parties incontrôlables du corps. Ici, ils ne donnent par leurs noms et apparaissent comme des énigmes.

Le Corbusier tourne en rond dans son atelier. Il se remémore une brève mais décisive rencontre avec Joséphine Baker lors d’un voyage transatlantique en 1929. Ils se retrouvent sur le toit de la Cité Radieuse, à Marseille, où ils célèbrent la vision de la tribu arc-en-ciel deBaker en dansant sur un rythme de conga.

Wavewidth retranscrit la sensation d’apaisement que peut procurer un paysage de bord de mer. Soulevés par des vagues de temps, les repères spatio-temporels sont troublés par le son. Les ondes marines et sonores se répondent dans une expérience cinématographique contemplative.

Confinée seule à Paris, une jeune femme évoque son expérience de la solitude : ses manques, ses désirs, ses rêves, dans une nuit qui semblerait infinie.

Chang (éléphant en thaïlandais) s’oublie dans la recherche de son chat appelé Bye bye. Le seul indice est l’« éléphant ».

De nuit comme dans l'obscurité du jour, un explorateur marche dans la jungle de Bornéo, à la recherche des orangs-outans.