Europe en courts 8

Divers extraits de mélodrames hollywoodiens des années 40 et 50 tissés en une chorégraphie de regards et de gestes.

« Alone. Life wastes Andy Hardy » nous révèle au contraire le «silence» inquiétant et craquant de tensions étouffées du film sonore et là où l'illusion d'une présence vive agit le plus intensément - lorsque Judy Garland chante - on écoute la machine, à savoir la mort au travail.» Dirk Schaefer.